logotype
  • Accueil
  • Microfarmap
    • Notre Histoire
    • Formations en Agroécologie
    • Formation à venir
  • Nos Outils
    • Tous les Outils
    • Annonces Agroécologie
  • Nos Partenaires
  • Actualités
Contactez-nous
logotype
logotype
  • Accueil
  • Microfarmap
    • Notre Histoire
    • Formations en Agroécologie
    • Formation à venir
  • Nos Outils
    • Tous les Outils
    • Annonces Agroécologie
  • Nos Partenaires
  • Actualités
Contactez-nous
logotype
  • Accueil
  • Microfarmap
    • Notre Histoire
    • Formations en Agroécologie
    • Formation à venir
  • Nos Outils
    • Tous les Outils
    • Annonces Agroécologie
  • Nos Partenaires
  • Actualités
elevage Tag
HomePosts Tagged "elevage"

Tag: elevage

blog-post0
Agroécologie
August 18, 2025by admin

L’agroécologie : cultiver avec la nature plutôt que contre elle

Qu’est-ce que l’agroécologie ?

L’agroécologie est une approche globale de l’agriculture qui cherche à tirer parti des mécanismes naturels des écosystèmes pour produire durablement. Plutôt que de compenser les déséquilibres par des intrants chimiques, elle s’appuie sur la biodiversité, la fertilité des sols et les cycles naturels pour maintenir la productivité et la santé des cultures. L’objectif : réduire la pression sur l’environnement, limiter les émissions de gaz à effet de serre, préserver les ressources en eau et en sol, tout en assurant la viabilité économique des exploitations.

Une approche systémique de la production

Adopter l’agroécologie, c’est considérer l’exploitation agricole comme un ensemble vivant et interconnecté. Chaque élément — sol, plante, eau, animal, haie, insecte — y joue un rôle. Cette vision d’ensemble permet de concevoir des systèmes cohérents et résilients, capables de s’adapter aux aléas climatiques ou économiques.

Par exemple, diversifier les cultures, allonger les rotations ou implanter des haies et bandes fleuries sont autant de leviers pour renforcer la biodiversité et réduire la dépendance aux produits phytosanitaires. Ces pratiques restaurent une mosaïque paysagère fonctionnelle, où les auxiliaires naturels retrouvent leur place.

Le rôle central de l’agronomie

Au cœur de la démarche agroécologique se trouve l’agronomie, science qui étudie les interactions entre les plantes, le sol et l’environnement.
La réussite d’un système agroécologique repose sur des connaissances solides : comprendre les cycles de l’azote et du carbone, connaître les besoins spécifiques de chaque culture, observer les dynamiques du sol. Ces savoirs permettent d’ajuster les pratiques, de manière fine et raisonnée.

Chaque exploitation avance à son propre rythme, selon ses objectifs, ses contraintes et son territoire. Les conditions pédoclimatiques, les débouchés économiques ou encore la qualité de vie de l’agriculteur influencent ces choix.

Expérimenter et apprendre du terrain

L’agroécologie est aussi une démarche d’expérimentation continue. Les agriculteurs testent, observent, ajustent. Beaucoup s’engagent dans des démarches collectives, partageant leurs expériences avec d’autres producteurs ou conseillers.
Ces réseaux d’échanges et d’innovation jouent un rôle essentiel pour diffuser les pratiques et adapter les savoirs à chaque contexte local.

Read More
blog-post1
Agriculture
August 18, 2025by admin

Faut-il limiter la chasse sur les cultures agricoles ?

La cohabitation entre chasseurs et agriculteurs est ancienne, mais elle devient de plus en plus tendue à mesure que les espaces ruraux se transforment. Entre les dégâts causés par le gibier et les intrusions sur des parcelles cultivées, la question se pose : faut-il encadrer, voire limiter la chasse sur les terres agricoles ?

Des cultures fragiles et des tensions croissantes

Pour de nombreux agriculteurs, les champs cultivés ne sont pas des terrains de chasse, mais des espaces de production fragiles.
Les passages répétés de véhicules, de chiens ou de chasseurs peuvent abîmer les cultures, perturber les récoltes ou effrayer les animaux d’élevage.
Au-delà des dégradations matérielles, certains agriculteurs dénoncent un sentiment d’intrusion, voire d’insécurité, surtout lors des battues organisées à proximité de leurs parcelles.

Les chasseurs, entre régulation et responsabilité

Du côté des chasseurs, l’argument principal est celui de la régulation du gibier, en particulier du sanglier, dont la surpopulation cause des millions d’euros de dégâts chaque année aux cultures agricoles.
Les fédérations de chasse soulignent que leurs actions contribuent à protéger les récoltes et à limiter les indemnisations versées aux exploitants.

Cependant, si la chasse est autorisée sur certaines zones agricoles (avec l’accord des propriétaires), elle doit se pratiquer dans le respect des règles de sécurité et du droit de propriété.
Les abus — véhicules sur les cultures, tirs trop proches des habitations ou refus d’autorisation — nuisent à l’image de la chasse et alimentent la méfiance entre les deux mondes.

Un cadre légal clair… mais perfectible

Le Code wallon de l’Environnement, et plus précisément le Livre II relatif à la Conservation de la Nature, définit les droits et devoirs des chasseurs.
En principe, aucune chasse ne peut avoir lieu sur une parcelle sans l’accord du propriétaire ou de son représentant.
Cependant, les baux de chasse conclus sur de vastes territoires forestiers ou agricoles peuvent entraîner des confusions : certains agriculteurs exploitent des terres où le droit de chasse a été cédé par le propriétaire foncier, souvent sans concertation.

Résultat : des malentendus récurrents, entre ceux qui travaillent la terre et ceux qui la parcourent pour réguler la faune.

Faut-il limiter la chasse sur les cultures agricoles wallonnes ?
La réponse ne se résume pas à un oui ou un non.
Elle dépendra de la capacité de chacun — chasseurs, agriculteurs, autorités locales — à dialoguer, planifier et se respecter mutuellement.

Car au-delà des champs et des forêts, c’est le vivre-ensemble rural qui est en jeu.

Read More
blog-post2
Ressources
August 18, 2025by admin

Microfermes : Comment Créer une Exploitation Agricole Rentable sur 1 500 m²

Et si la rentabilité agricole ne dépendait pas du nombre d’hectares, mais de l’intelligence du système ? Les microfermes bouleversent les idées reçues en prouvant qu’une exploitation de 1 000 à 1 500 m² peut générer des revenus viables tout en régénérant les sols. Ce modèle d’agriculture du vivant réconcilie performance économique et respect de l’environnement.

Pendant des décennies, le discours dominant en agriculture a prôné l’agrandissement systématique des exploitations. “Il faut s’agrandir ou disparaître” est devenu le mantra d’une agriculture industrielle qui épuise les sols, pollue les eaux et endette les agriculteurs. Pourtant, un mouvement discret mais puissant démontre qu’une autre voie est possible. Ce modèle d’agriculture du vivant réconcilie performance économique et respect de l’environnement. Il prouve que la productivité n’est pas l’ennemie de l’écologie, et que la rentabilité peut aller de pair avec la régénération des écosystèmes. Les microfermes ne sont pas un retour nostalgique au passé, mais une innovation agronomique tournée vers l’avenir.

Dans un contexte de changement climatique, de raréfaction des ressources et de demande croissante pour une alimentation locale et saine, les microfermes apparaissent comme une réponse concrète et duplicable. Elles offrent une alternative crédible aux modèles intensifs, accessible aux nouvelles générations d’agriculteurs et adaptable à tous les territoires.

Qu'est-ce qu'une microferme exactement ?

Un système agricole performant sur petite surface

Une microferme n’est pas un simple jardin potager. C’est une exploitation agricole professionnelle optimisée pour produire intensément sur une surface réduite grâce à :

  • La gestion du sol vivant : régénération plutôt qu’épuisement
  • Des rotations culturales cohérentes et planifiées
  • La diversification des cultures pour maximiser la production
  • La réduction des intrants chimiques et énergétiques
  • Une organisation spatiale efficace de chaque mètre carré

Les chiffres clés d’une microferme

  • Surface : 1 000 à 1 500 m² en moyenne
  • Investissement initial : accessible comparé aux exploitations conventionnelles
  • Rendement : intensif grâce à l’optimisation de l’espace
  • Mode de commercialisation : circuits courts majoritairement

Pourquoi les microfermes sont-elles rentables ?

5 facteurs de rentabilité prouvés

1. Faibles charges de mécanisation Peu ou pas de tracteurs, donc des coûts d’équipement réduits et une maintenance minimale.

2. Forte intensité culturale Chaque mètre carré produit toute l’année grâce à des rotations rapides et une gestion optimale.

3. Circuits courts et meilleure marge Vente directe au consommateur = suppression des intermédiaires et valorisation maximale.

4. Biodiversité fonctionnelle Moins de maladies, moins de ravageurs, plus de résilience naturelle = économies sur les traitements.

5. Intelligence du système plutôt que surface La performance vient de la conception agronomique, pas de l’échelle industrielle.

La clé : La rentabilité ne dépend pas de la taille de l’exploitation, mais de l’intelligence du système mis en place.

Sol vivant : le secret d’une microferme productive

Les principes de l’agriculture régénératrice

Le sol vivant constitue le fondement de la réussite des microfermes. Plutôt que d’exploiter la terre, on la régénère activement :

    • Couverts végétaux permanents pour protéger et nourrir le sol
    • Apports de compost et matière organique de qualité
    • Associations de cultures bénéfiques (compagnonnage)
    • Travail minimal du sol pour préserver la vie microbienne

Les bénéfices concrets du sol vivant

✅Fertilité croissante année après année

✅Réduction de l’empreinte carbone par séquestration 

✅Résilience climatique accrue (rétention d’eau, résistance aux stress)

✅ Productivité à long terme sans dégradation des ressources

Pour qui sont faites les microfermes ?

Un modèle accessible et duplicable

L’un des atouts majeurs des microfermes est leur accessibilité. Pas besoin de dizaines d’hectares ni d’investissements prohibitifs.

Profils idéaux :

  • Jeunes agriculteurs souhaitant s’installer sans s’endetter lourdement
  • Familles visant l’autonomie alimentaire et un complément de revenu
  • Collectivités locales engagées dans la souveraineté alimentaire
  • Porteurs de projets agroécologiques en reconversion professionnelle
  • Territoires en transition écologique et alimentaire

Lieux d’implantation possibles :

  • Zones rurales
  • Périmètres péri-urbains
  • Espaces urbains (toitures, friches réhabilitées)

Microfermes : un choix politique et écologique

Ce que refuse le modèle des microfermes

❌ La dépendance aux intrants chimiques industriels

❌ La course à l’agrandissement sans fin

❌ Les modèles productivistes qui épuisent les ressources

❌ L’industrialisation du vivant et la standardisation

Ce qu’affirme le mouvement des microfermes

✅ Production locale, durable et résiliente

✅ Rémunération juste et dignité du producteur

✅ Souveraineté alimentaire territoriale

✅ Agriculture régénératrice qui restaure les écosystèmes

Comment se lancer dans la création d’une microferme ?

Les étapes clés pour réussir

1. Formation en agroécologie Maîtriser les techniques du sol vivant, la gestion des rotations, le compagnonnage végétal.

2. Accompagnement agronomique Être conseillé sur la conception du système, le choix des cultures, l’optimisation spatiale.

3. Planification économique Définir son modèle commercial, calculer sa rentabilité, sécuriser ses débouchés.

4. Solutions numériques Utiliser des outils de gestion adaptés aux petites surfaces intensives.

5. Financement adapté Identifier les aides, subventions et financements participatifs disponibles.

Pourquoi agir maintenant ?

Les enjeux qui rendent les microfermes indispensables

Un contexte qui rend la transition agricole urgente

• Changement climatique : la nécessité d’une agriculture résiliente
La fréquence accrue des sécheresses, des épisodes de chaleur extrême et des événements météorologiques violents fragilise les systèmes agricoles traditionnels. Les microfermes, basées sur la diversification des cultures, la gestion fine de l’eau et des sols vivants, offrent une résilience naturelle face à ces aléas. Leur petite échelle permet d’adapter rapidement les pratiques et de réduire la dépendance aux intrants externes, rendant la production plus stable dans un climat changeant.

• Perte de biodiversité : l’urgence de restaurer les écosystèmes
L’agriculture intensive figure parmi les principales causes d’érosion de la biodiversité. À l’inverse, les microfermes s’appuient sur l’agroécologie, les haies, les mares, les rotations complexes, les associations de plantes et les infrastructures favorables à la faune. Elles recréent des écosystèmes fonctionnels où pollinisateurs, auxiliaires naturels et sols vivants jouent un rôle central. Chaque microferme devient ainsi un refuge de biodiversité et un noyau de régénération écologique.

• Fragilité économique du modèle agricole intensif conventionnel
Le modèle industriel, fortement dépendant de l’énergie fossile, du crédit, des pesticides et des engrais de synthèse, montre aujourd’hui ses limites. Les charges explosent, les marges s’effondrent et la dépendance aux marchés mondiaux rend les exploitations vulnérables. Les microfermes, en privilégiant l’autonomie, la vente directe et la valeur ajoutée, offrent une alternative économiquement plus stable et moins risquée.

• Crise alimentaire et besoin de relocalisation
Dans un contexte d’instabilité mondiale — conflits, ruptures logistiques, inflation — la sécurité alimentaire redevient un enjeu majeur. Les microfermes contribuent à une production de proximité, diversifiée, fraîche et moins dépendante des chaînes d’approvisionnement internationales. Elles participent à sécuriser les territoires en les rendant capables de répondre localement à une part croissante de leurs besoins alimentaires.


Les microfermes comme solution concrète

• Un modèle reproductible dans tous les contextes
Que ce soit en zone rurale, périurbaine ou même au cœur des villes, le concept de microferme peut être adapté à la taille du terrain, au climat et aux besoins du territoire. Leur mise en place nécessite souvent peu d’investissement initial et peut être reproduite rapidement, rendant ce modèle accessible à un grand nombre de porteurs de projets.

• Un impact positif immédiat sur l’environnement local
En régénérant les sols, en diminuant l’usage d’intrants chimiques, en réduisant fortement les distances de transport et en stockant du carbone, les microfermes génèrent des bénéfices environnementaux dès les premières années. Elles améliorent la qualité de l’eau, favorisent la pollinisation et enrichissent les paysages, tout en produisant une alimentation saine.

• Un moteur d’économie locale et d’emploi
Les microfermes créent des emplois non délocalisables, dynamisent les circuits courts, soutiennent les commerces et artisans locaux et stimulent le tissu social. Elles favorisent l’installation de nouveaux agriculteurs et renforcent l’attractivité des territoires, notamment dans les zones rurales en déclin.

• Une réponse efficace aux défis alimentaires de demain
Face à l’augmentation de la population, à la raréfaction des ressources et aux bouleversements climatiques, les microfermes représentent une voie crédible pour produire davantage de nourriture avec moins : moins d’eau, moins d’énergie, moins d’intrants. Elles allient productivité, durabilité et qualité, tout en renforçant l’autonomie alimentaire des régions.


Chaque microferme créée : un acte concret de transition

Implanter une microferme, c’est bien plus que produire des légumes : c’est poser une pierre sur le chemin d’une agriculture durable, humaine et résiliente. Chaque installation contribue à transformer les paysages, à créer des emplois, à régénérer les sols et à rendre nos sociétés moins dépendantes des modèles mondialisés. C’est une réponse pragmatique, immédiate et puissante aux grands défis de notre époque. 

En conclusion, les microfermes prouvent qu’une agriculture rentable et écologique est possible. Elles démontrent que la performance ne se mesure pas en hectares, mais en intelligence agronomique, en respect du vivant et en résilience.

Que vous souhaitiez :

  • Créer votre microferme
  • Transformer votre exploitation vers l’agriculture du vivant
  • Rendre votre ferme plus rentable sans détruire vos sols

L’accompagnement spécialisé peut faire la différence entre un projet qui réussit et un échec coûteux.

L’avenir de l’agriculture commence maintenant. Vous pouvez en être acteur dès aujourd’hui.

Read More
blog-post3
Partenaires
August 18, 2025by admin

Agriculture durable : les voix d’une révolution silencieuse

Uu article pour celles et ceux qui veulent comprendre — et agir. Dans la vidéo « Agriculture durable : la révolution silencieuse des paysans », on découvre un mouvement discret, presque invisible aux yeux du grand public, mais incroyablement puissant. Un mouvement qui ne fait pas la une des journaux, et pourtant il transforme déjà notre manière de cultiver, de manger, de vivre. C’est l’histoire d’une transition profonde : une révolution sans bruit, portée par des femmes et des hommes qui choisissent de remettre la vie au centre.

L’agriculture durable : plus qu'un concept, une reconstruction

Loin des slogans et des grandes déclarations, l’agriculture durable est une reconstruction.
Une reconstruction des sols, des paysages, des métiers, des relations entre humains et nature.

Elle repose sur une conviction simple et puissante : la fertilité ne se décrète pas, elle se cultive.
Dans les fermes présentées, on découvre des pratiques où la chimie laisse place à la biologie :

  • composts et matières organiques,

  • couverts végétaux pour protéger et enrichir le sol,

  • diversité des espèces,

  • cultures associées et rotations longues,

  • infrastructures favorables à la biodiversité.

Cette philosophie change tout. Elle transforme la manière de produire, mais aussi la manière de penser.

« Nous avons compris que la terre n’avait pas besoin d’être forcée. Elle avait besoin d’être écoutée. »

Ce changement de regard marque le point de départ d’une nouvelle voie agricole.

Sortir du mythe du rendement à tout prix

Pendant des décennies, l’agriculture industrielle a été présentée comme la seule capable de nourrir le monde. Elle a produit beaucoup, souvent trop, mais au prix d’une dégradation massive du vivant :

  • sols appauvris,

  • disparition de la biodiversité,

  • pollution des eaux,

  • dépendance aux intrants chimiques,

  • dettes élevées pour les agriculteurs,

  • fragilisation des territoires.

Dans la vidéo, les agriculteurs témoignent d’un changement de conscience :

« Produire beaucoup n’a plus de sens si cela détruit ce qui nous nourrit. »

Car quel est l’objectif de l’agriculture, sinon de maintenir sur le long terme la capacité à produire de la nourriture saine ?
L’agriculture durable ne renonce pas aux rendements : elle les repense.
Elle cherche l’équilibre plutôt que l’épuisement, la diversité plutôt que l’uniformité, la santé plutôt que la performance à court terme.

Retrouver l'autonomie alimentaire des territoires

L’un des messages les plus forts du film concerne la souveraineté alimentaire. Les paysans y rappellent que nourrir un territoire est une mission essentielle — et qu’elle ne peut dépendre de chaînes logistiques mondialisées, instables et polluantes.

🌍 « Changer l’agriculture, c’est aussi regagner notre autonomie et notre souveraineté alimentaire. »

L’agriculture durable s’appuie sur :

  • des circuits courts,

  • des productions locales adaptées au climat,

  • des systèmes résilients qui nécessitent peu d’intrants externes,

  • une économie ancrée dans le territoire,

  • des relations directes entre producteurs et consommateurs.

Ce modèle offre une sécurité nouvelle dans un monde marqué par les crises, où l’autonomie n’est plus un idéal : c’est une nécessité.

Réhabiliter la biodiversité comme alliée

Le film montre un autre basculement majeur : la réconciliation avec le vivant.

🐞 « Là où l’industrie voit des nuisibles, nous voyons des alliés. »

Dans l’agriculture durable, la biodiversité n’est jamais un problème :
elle est la solution.

  • Les insectes pollinisateurs,

  • les micro-organismes du sol,

  • les plantes sauvages,

  • les oiseaux,

  • les auxiliaires naturels des cultures…

Tous participent à l’équilibre de la ferme.
Le résultat : moins de pesticides, moins de maladies, plus de résilience, plus de fertilité.

Recréer des écosystèmes fonctionnels devient un acte agricole à part entière.

La révolution silencieuse de l’autonomie paysanne

Au-delà des techniques, l’agriculture durable porte une dimension sociale et humaine très forte : la reprise de pouvoir par les paysans eux-mêmes.

🤝 « La vraie révolution, c’est quand les paysans reprennent la main sur leur manière de produire. »

C’est un mouvement qui libère :

  • de la dépendance aux intrants coûteux,

  • de l’endettement lié à l’hypermachinisation,

  • des modèles industriels imposés,

  • de la standardisation qui dévalorise le métier.

Cette révolution redonne de la dignité.
Elle rend aux agriculteurs leur rôle de gardiens du vivant.
Elle les remet au cœur des territoires.

Et elle avance. Lentement. Sûrement. Ferme après ferme.

Penser à long terme : le sens retrouvé

L’agriculture durable invite à regarder plus loin que les cycles de production ou les prix du marché.

🌳 « Ce que nous faisons aujourd’hui avec le sol, nos enfants le récolteront demain. »

Cette phrase résume tout : il s’agit d’une responsabilité intergénérationnelle.
Préserver les sols aujourd’hui, c’est préserver la possibilité même de produire demain.

Farmap la révolution 2025

Chez Farmap ASBL, ces témoignages résonnent profondément. Ils incarnent ce qui motive notre engagement chaque jour :

  • former aux pratiques agroécologiques,

  • accompagner des projets agricoles vivants,

  • soutenir la transition vers une agriculture régénératrice,

  • redonner du sens, de la valeur et de la dignité à un métier essentiel.

Nous voyons cette révolution silencieuse.
Nous la vivons aux côtés des paysans.
Nous l’accompagnons.
Et nous voulons la rendre visible — ferme après ferme, territoire après territoire.

En conclusion, l’agriculture durable n’est pas une mode.
Ce n’est pas un retour en arrière.
Ce n’est pas une utopie.

C’est une réponse urgente, concrète, réaliste, à la crise écologique, sociale et agricole que nous traversons.

Elle commence par un changement d’attitude.
Par des paysans qui disent :

« Nous n’épuiserons plus la terre : nous la ferons vivre. »

Et elle continue avec celles et ceux qui, comme toi, cherchent à comprendre… et à agir.

Read More

Microfarmap

Contacter Microfarmap

info@microfarmap.com
Belgique
Instagram
Youtube
Facebook
LinkedIn

Menu Rapide

  • A propos
  • Nos outils
  • Formations
  • Notre Charte
  • Politique de Confidentialité
  • Mentions Légales

S'inscrire

    L’agroécologie ne se pratique pas seul : elle se construit ensemble, parcelle par parcelle, savoir par savoir.
    © 2025 Microfarmap. All Rights Reserved